Quel privilège d’avoir pu déguster grâce à quelques collectionneurs ces deux Château Margaux (1918 at 1923) ! Issu d’un millésime pourtant médiocre, le 1923 s’est ouvert dans le verre pour célébrer tout en douceur son centenaire. Quant au 1918, il s’est révélé une nouvelle fois d’une jeunesse déconcertante. Quelle émotion devant ce vin pourtant né en temps de guerre.